Le Havre, 76600
Bienvenue à Le Havre, commune française située dans le département Seine-Maritime et la région Haute-Normandie.Vous trouverez ici quelques infos sur la commune et notre sélection de sites sur Le Havre.
     
 
 

Le Havre en bref

Département : Seine-Maritime
Code postal : 76600
Population : 0 habitants
Région : Haute-Normandie
Arrondissement : Le Havre
Canton : Canton non précisé

Histoire de Le Havre

Ancien musée du vieux Havre, bâtisse des XVIIe et XVIIIe siècles
Articles détaillés : Histoire du Havre et chronologie du Havre.
La ville du Havre est une création relativement récente (elle fut fondée le 8 octobre 1517 par François Ier). Elle connut un fort essor démographique grâce au dynamisme de son port. Les bombardements de 1944 marquent une césure importante dans l'histoire de la ville et dans l'esprit de ses habitants. Aujourd'hui, les projets urbains et portuaires se multiplient pour faire face aux défis économiques et sociaux du XXIe siècle.
Le Havre a connu de nombreuses extensions territoriales en annexant des communes voisines :
1852 : Ingouville et des parties de Graville-Sainte-Honorine et de Sanvic
1910 : Graville-Sainte-Honorine en totalité
1953 : Bléville
1955 : Sanvic en totalité
1971 : une partie d'Harfleur (quartier de Caucriauville)
1973 : Rouelles (avec le statut de commune associée, 3 184 habitants en 2006)
Avant François Ier
Harfleur, dans l'agglomération du Havre, présente des églises et des maisons à colombages du Moyen Âge
Quelques vestiges préhistoriques ont été exhumés dans le territoire de l'estuaire et dans la forêt de Montgeon.
Dès l'Antiquité, le trafic fluvial sur la Seine était en relation avec le dynamisme des cités de l'estuaire (port de Caracotinum, ancêtre d'Harfleur). Une voie romaine reliait sans doute Lillebonne (Juliobona) à Sainte-Adresse (Chef de Caux) et passait par le territoire actuel de la commune du Havre. Plusieurs sites archéologiques de la période romaine ont été fouillés par les archéologues dans l'agglomération actuelle. Dans une chapelle de l'abbaye de Graville, le sarcophage de sainte Honorine a été redécouvert en 1867.
Pendant le Haut Moyen Âge, le port de l'Eure (ou Leurre) existait au sud-ouest d'Harfleur, sur la rive maritime de la Seine. Il servait d'abri aux navires qui attendaient la marée permettant d'entrer dans le port d'Harfleur. Le port du Havre, quant à lui, n'existe pas encore. Au XIe siècle, le port de Honfleur est créé, sur la rive sud de l'estuaire de la Seine. Les navires trop chargés ne pouvant pas remonter la Seine, on utilise les avant-ports de Chef-de-Caux, au nord-ouest du Havre actuel, Harfleur et Leurre. L'estuaire ne compte alors que quelques hameaux de pêcheurs et d'agriculteurs : Graville, Ingouville, hameau du Lieu-de-Grâce, Saint-Denis-Chef-de-Caux (ancêtre de Sainte-Adresse), Harfleur. C'est aussi à cette époque que s'organisent les premières paroisses.
Après la guerre de Cent Ans, le renouveau économique et la croissance des échanges transatlantiques font germer le projet d'un nouveau port sur la rive nord de l'estuaire de la Seine. L'ensablement du port d'Harfleur et la crainte d'un débarquement anglais poussent le roi François Ier à fonder le port du Havre et avec lui la ville.
Les débuts du Havre
Blason du Havre
Malgré les difficultés liées au terrain (marécages) et aux tempêtes, le port du Havre accueille ses premiers navires en octobre 1518. Le 8 octobre 1517, François Ier signe la charte de fondation de la ville dont les plans sont confiés d'abord au vice-amiral Guyon le Roy. La « grosse tour » en défend l'entrée. Les armes de la ville sont celles de François Ier : une salamandre. Le roi se déplace lui-même en août 1520 et rend perpétuels les privilèges des Havrais. La fonction militaire est aussi encouragée : Le Havre est un des points de rassemblement de la flotte française pendant les guerres. Les arsenaux se développent et des navires partent pêcher la morue à Terre-Neuve.
Le Nouveau Monde attire les aventuriers et quelques-uns partent du Havre : ainsi, Villegagnon part du Havre pour fonder une colonie au Brésil (Fort-Coligny) en 1555. Aujourd'hui encore, une place des cannibales rappelle ces liens anciens avec le Nouveau Monde. À la fin du XVIe siècle, la contrebande prend son essor et Le Havre voit arriver des produits américains comme des cuirs, du sucre et du tabac. Un des principaux acteurs de ce trafic interlope est un Havrais explorateur et cartographe, Guillaume Le Testu (1509-1573) : un quai au Havre porte toujours son nom.
En 1536, les premiers travaux de construction de la future cathédrale Notre-Dame sont entrepris par Guillaume de Marceilles. En 1541, François Ier confie le projet d'urbanisme et de fortification à l'architecte italien Girolamo Bellarmato. Celui-ci a les pleins pouvoirs et organise le quartier Saint-François selon des normes précises (plan orthogonal, hauteur des maisons limitée…).
Les guerres de religion
Détail de la façade de la cathédrale du Havre
La Réforme connaît un relatif succès en Normandie : les petits nobles du pays de Caux sont influencés et un temple protestant est construit au Havre dès 1561.
Le 8 mai 1562, les réformés investissent Le Havre. Redoutant une contre-attaque des armées royales, ils se tournent vers les Anglais qui envoient des troupes : 6 000 fantassins et 300 cavaliers commandés par le comte de Warwick. Les occupants construisent le fort Warwick et quatre bastions en vertu du traité d'Hampton Court. Les troupes de Charles IX, commandées par le connétable de Montmorency, attaquent Le Havre et les Anglais sont finalement chassés (juillet 1563). Le fort Warwick est détruit sur les ordres du roi de France.
Les XVIIe et XVIIIe siècles
Maison de l'Armateur, XVIIIe siècle, Le Havre
La fonction de défense du Havre est réaffirmée et la modernisation du port débute au XVIIe siècle, sur ordre du cardinal de Richelieu, gouverneur de la ville : un arsenal est aménagé, les remparts sont renforcés et une forteresse est construite : c'est ici que Mazarin fait emprisonner les princes frondeurs, Longueville, Conti et Condé. À la fin du XVIIIe siècle, la citadelle est abandonnée et n'était plus qu'une simple caserne.
Mais surtout, Le Havre affirme sa vocation maritime et internationale au cours du XVIIe siècle : la compagnie des Indes s'y installe dès 1642. On importe des produits exotiques (sucre, coton, tabac, café, et diverses épices). La traite des Noirs enrichit les négociants havrais, surtout au XVIIIe siècle. Cependant le commerce maritime est soumis aux relations internationales et au contexte européen : les guerres de Louis XIV et de Louis XV interrompent momentanément l'essor du Havre. Les Anglais bombardent la ville à plusieurs reprises, notamment en 1694[6].
En 1749, Madame de Pompadour veut voir la mer : Louis XV choisit Le Havre pour satisfaire le désir de sa maîtresse. C'est une visite ruineuse pour les finances de la ville. L'essor économique du Havre se traduit par un accroissement de sa population (20 000 habitants en 1789) mais aussi par des transformations dans le port et la ville : installation d'une manufacture de tabac dans le quartier Saint-François, expansion des chantiers navals. Lors d'une visite en 1786, Louis XVI approuve le projet d'extension de la ville : c'est Lamandé qui se charge de multiplier par quatre la surface de la ville.
La période révolutionnaire (1789-1815)
Museum d'histoire naturelle, XVIIIe  siècle, Le Havre
Entre 1789 et 1793, le port du Havre est le deuxième en France, après celui de Nantes. Le commerce triangulaire se poursuit jusqu'à la guerre et l'abolition de la traite. Le port reste toujours un enjeu stratégique à cause du commerce des céréales (ravitaillement de Paris) et de sa proximité avec l'ennemi britannique. L'année 1793 fut difficile pour la France comme pour Le Havre à cause de la guerre, des insurrections fédéralistes et du marasme économique. La Terreur religieuse transforme la cathédrale Notre-Dame en temple de la Raison. La ville acquiert le statut de sous-préfecture par la réforme administrative de l'An VIII[7]. Sous l'empire, Napoléon Ier vient au Havre et ordonne la construction de forts[8]. À cause de la guerre contre la Grande-Bretagne et du blocus, l'activité du port se réduit et celle des corsaires s'accroît. La population du Havre diminue jusqu'à 16 000 habitants.
La prospérité du XIXe siècle
Le port du Havre au XIXe siècle, BNF
L'arrêt des guerres révolutionnaires et napoléoniennes permet au commerce de reprendre normalement à mesure que s'éloigne la menace britannique. Le contexte de paix retrouvée et d'essor économique entraîne un afflux important de population. Les Havrais sont vite à l'étroit dans les murailles et de nouveaux quartiers apparaissent. Mais beaucoup d'indigents s'entassent dans le quartier insalubre de Saint-François. Les épidémies de choléra, de typhoïde et de « fièvres » font plusieurs centaines de morts dans les années 1830-1850. L'alcoolisme et la mortalité infantile font des ravages dans les classes les plus pauvres. Quant aux riches négociants havrais, ils sont très minoritaires mais leur nombre augmente ; ils se font construire de belles résidences en dehors des remparts, sur la « Côte ». Mais les fortunes construites rapidement peuvent disparaître aussi vite et provoquer des ruines retentissantes. Tout au long du XIXe siècle, l'aspect cosmopolite de la cité portuaire ne fait que se renforcer : dans les temps de prospérité maritime, la main d'œuvre du Pays de Caux est poussée vers Le Havre à cause de la crise du tissage. L'implantation d'une large communauté bretonne (10 % de la population havraise à la fin du XIXe siècle) modifie la vie culturelle du Havre. La réussite économique de la ville attire des entrepreneurs anglo-saxons et nordiques. On rencontre des Italiens, des Polonais puis des Maghrébins sur les quais et dans les usines.
La ville et son port se transforment grâce à de grands travaux d'aménagement, en partie financés par l'État, qui s'étalent tout au long du XIXe siècle, parfois interrompus par les crises politiques ou économiques. Ainsi plusieurs projets sont menés à bien comme la construction d'une bourse et du bassin du commerce dès la première moitié du siècle. L'installation progressive de l'éclairage au gaz à partir de 1836, de l'enlèvement des ordures (1844) et des égouts dénote un souci de modernisation urbaine. Au milieu du siècle, les vieux remparts sont rasés et les communes limitrophes sont annexées : par conséquent, la population de la ville du Havre augmente brusquement.
La période 1850-1914 constitue l'âge d'or du Havre ; en effet, si l'on met de côté quelques années de dépression (guerre de Sécession[9], guerre franco-prussienne), le commerce explose et la ville s'embellit de constructions édilitaires (grands boulevards, hôtel-de-ville, palais de justice, nouvelle bourse).
Les effets de la révolution industrielle sont de plus en plus visibles au Havre : la première drague à vapeur est utilisée en 1831. Les chantiers de construction navale se développent. Frédéric Sauvage met au point ses premières hélices au Havre en 1833. Le chemin de fer arrive en 1848[10] et permet de désenclaver Le Havre. Les docks sont construits à la même époque, de même que des magasins généraux. À la veille de la Première Guerre mondiale, Le Havre est le premier port européen pour le café[11] ; il importe quelques 250 000 tonnes de coton et 100 000 tonnes de pétrole.
Le secteur industriel existe, mais reste minoritaire au XIXe siècle : les usines sont en relation avec le trafic portuaire (chantiers navals, raffineries de sucre, fabriques de cordes, etc.). Le secteur bancaire se développe, même s'il demeure largement tributaire de l'extérieur. La ville compte peu de professions libérales et de fonctionnaires. Le nombre d'écoles reste insuffisant jusque dans les années 1870.
Le Havre, quai de Southampton
Le port est toujours la porte de l'Amérique : il reçoit des produits tropicaux (café, coton). Le cabotage européen apporte du bois, de la houille et du blé d'Europe du Nord, du vin et de l'huile de Méditerranée. L'abolition de la traite des Noirs entraîne peu à peu une modification des trafics. Le Havre reste un point de passage pour les candidats à l'émigration vers les États-Unis. Les voyages transatlantiques deviennent importants dans la deuxième moitié du XIXe siècle. En 1913, sur les 741 000 passagers qui transitent par Le Havre, 150 000 voyagent vers les États-Unis. C'est le début de l'ère des paquebots qui feront la fierté des Havrais.
Depuis les années 1830, Le Havre est une station balnéaire fréquentée par les Parisiens. La création des bains maritimes remonte à cette époque. C'est en 1890 que le boulevard maritime est construit, dominé par la villa maritime. Le casino Marie-Christine (1912) et le palais des Régates (1906) rassemblent la bourgeoisie. La fin du XIXe siècle et la Belle époque annoncent cependant des tensions sociales exacerbées par l'inflation et le chômage. À partir de 1886, l'agitation ouvrière, que soutiennent les socialistes de plus en plus influents, secoue la ville. L'affaire Jules Durand est symptomatique de ce contexte[12].
Le temps des guerres (1914-1945)
Le bilan humain de la Première Guerre mondiale est lourd pour la cité : environ 6 000 morts havrais, pour la plupart des soldats partis au combat. La ville a été épargnée par les destructions massives, car le front se situait beaucoup plus au nord. Plusieurs navires ont néanmoins été torpillés par les sous-marins allemands, dans la rade du Havre. Un des faits notables de la guerre a été l'installation du gouvernement belge à Sainte-Adresse, dans la banlieue du Havre, contraint de fuir l'occupation allemande[13]. La ville servit de base arrière pour l'Entente, notamment pour les navires de guerre britanniques.
La période de l'entre-deux-guerres est marquée par l'arrêt de la croissance démographique, l'agitation sociale et la crise économique. Au sortir de la guerre, l'inflation ruine de nombreux rentiers. La ville est devenue largement ouvrière. Les pénuries et la vie chère provoquent la grande grève de 1922 au cours de laquelle l'état de siège est proclamé. En 1936, l'usine Bréguet du Havre est occupée par les grévistes : c'est le début du mouvement ouvrier sous le Front Populaire. Sur le plan économique, la forte croissance de la deuxième moitié du XIXe siècle semble révolue. Les ports du Nord de l'Europe concurrencent sérieusement Le Havre et les grands travaux d'aménagement portuaire sont ralentis. Cependant, les importations de pétrole continuent d'augmenter et des raffineries voient le jour à l'est du Havre. La crise mondiale de 1929 et les mesures protectionnistes n'encouragent pas le développement du commerce. Seul le secteur du voyage se porte relativement bien, avec 500 000 voyageurs transportés en 1930. Le paquebot Le Normandie part pour New York en 1935. Mais rapidement se profilent les menaces de guerre et le danger nazi.
Les Allemands ont occupé Le Havre à partir du printemps 1940, avec une garnison qui a compté jusqu'à 40 000 soldats. Ils l'ont transformé en base militaire et aménagé la Festung Le Havre, ligne de casemates, blockhaus et batteries d'artilleries. Ce dispositif était intégré au mur de l'Atlantique. Pour les Havrais, la vie quotidienne fut difficile à cause des pénuries, de la censure, des bombardements et de la politique antisémite : ainsi, le maire Léon Meyer est contraint de quitter son poste à cause de ses origines juives ; de nombreux havrais partent. La résistance havraise s'est constituée autour de plusieurs noyaux comme le groupe du lycée du Havre ou encore celui du Vagabond Bien-Aimé. Ces groupes ont participé au renseignement des Britanniques et à des actions de sabotage en vue du débarquement du 6 juin. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Le Havre subit 132 bombardements planifiés par les alliés; mais les destructions les plus importantes surviennent les 5 et 6 septembre 1944 lorsque les Alliés bombardent le centre-ville et le port pour affaiblir l'occupant ( nom de code du Bombardement « Tabula Rasa »). L'objectif était de faciliter le ravitaillement et la progression des troupes alliées, qui débarquées trois mois plus tôt en Basse-Normandie, se trouvaient en Belgique à cours d'approvisionnements. Le bilan des bombardements est lourd : 5 000 morts, 80 000 sinistrés, 150 hectares rasés, 12 500 immeubles détruits[14]. Le port est détruit et quelques 350 épaves gisent au fond de l'eau. La rade ainsi que l'estuaire étaient minés.
L'histoire récente
La reconstruction
Articles détaillés : Centre-ville reconstruit du Havre et Auguste Perret.
Au printemps 1945, le Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme confie le projet de reconstruction du centre-ville du Havre à l'atelier Perret. Il souhaite faire table rase des anciennes structures et appliquer les théories du classicisme structurel. Le matériau retenu pour l'édification des bâtiments est le béton et le plan général est une trame orthogonale.
Les difficultés économiques
Elles sont dues à la désindustrialisation marquée par la fermeture des ACH par exemple et aux transformations du commerce portuaire. La crise pétrolière explique aussi le marasme industriel depuis le milieu des années 1970. Le Havre est d'ailleurs resté un bastion communiste jusque dans les années 1990. Depuis, la ville s'est engagée dans un processus de reconversion et la municipalité a œuvré pour la renaissance du Havre en renforçant son image (voir le paragraphe sur l'économie).
source : Wikipedia

Sites sur Le Havre

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