Mons, 34390
Bienvenue à Mons, commune française située dans le département Hérault et la région Languedoc-Roussillon.Vous trouverez ici quelques infos sur la commune et notre sélection de sites sur Mons.
     
 
 

Mons en bref

Département : Hérault
Code postal : 34390
Population : 0 habitants
Région : Languedoc-Roussillon
Arrondissement : Béziers
Canton : Olargues

Histoire de Mons

Les origines
Article détaillé : Minières néolithiques de silex de Spiennes.
Les lieux alentour sont occupés dès le néolithique, principalement au sud de la Haine : à Spiennes, Givry (dans la commune actuelle de Quévy), mais aussi plus au nord, comme à Obourg.
Le lieu se trouve ensuite sur le territoire de la tribu belge des Nerviens. À l'époque romaine, une garnison se serait établie sur la colline montoise[19]. D'après certains auteurs, se fondant sur deux textes médiévaux (une vita de sainte Aldegonde du VIIIe siècle et le testament d'Anségise, abbé de Fontenelle[20]), le quadrillage caractéristique des camps romains se retrouverait dans la topographie actuelle de la ville. Le géologue Serge Ghiste a notamment tenté de le démontrer en superposant le plan de la ville au plan d'un camps romain. Cependant, aucun vestige ne vient confirmer cette hypothèse plausible[21].
Moyen Âge
Carte[22] représentant Mons au temps du comté du Hainaut.
La ville est fondée au VIIe siècle durant l'époque mérovingienne, autour d'un oratoire érigé par Waldetrude[23], fille d'un intendant de Clotaire II canonisée à sa mort en 688 sous le nom de Waudru. Waudru, suivant les conseils de son confesseur saint Ghislain, fonde cet oratoire, devenu par la suite un monastère, sur un site inhabité du domaine d'Obourg-Nimy-Maisière, propriété de sa cousine Aye et de son époux, Hydulphe, un notable mérovingien.
Le site devient un enjeu militaire suite à l'implantation des Vikings à Condé-sur-l'Escaut en 876. Le premier comte de Hainaut, Régnier au Long Col, construit une première forteresse, Castri Locus, destinée à lutter contre les envahisseurs. Cette forteresse est prise et réduite en cendres en 956, sous Régnier III[24].
À partir du Xe siècle les comtes de Hainaut font de Mons leur résidence principale et la ville devient leur capitale, un titre qu'elle a déjà reçu de Charlemagne en 804[25]. Devenant le centre administratif du comté, Mons se développe durant les 800 ans qui suivent autour du nouveau château et du chapitre de Sainte-Waudru. Le bras de fer incessant entre l'autorité religieuse (le chapitre, propriétaire initial de la ville) et l'autorité administrative (le comte de Hainaut, qui tente de s'étendre) modèle le paysage montois.
Les grands travaux de rénovation et d'entretien des fortifications sont le fait de Baudouin IV et Baudouin V au milieu du XIIe siècle. C'est à cette époque que Bernard de Clairvaux vient à Mons prêcher la croisade (1148). Jean II d'Avesnes en 1290 construit la deuxième fortification[26] qui, à la différence de la première, défend aussi la ville et non plus seulement le château : cette enceinte urbaine (frumeteit ou fermetei(t) en picard montois) est percée de six portes[27]. Seule la Tour valenciennoise (1358) subsiste actuellement. Guillaume le Bon, fils et successeur de Jean II, permet au commerce de s'épanouir dans la ville[28].
Mons souffre également de plusieurs désastres au cours de cette période. En 1112, un incendie a déjà détruit une grande partie de la cité. En 1348, la peste noire sévit dans la ville et la population diminue fortement. L'épidémie cesse après la procession, organisée par les autorités, des reliques de sainte Waudru[29]. C'est l'origine de la ducasse de Mons.
Période bourguignonne
En 1433, Philippe le Bon acquiert le titre de comte de Hainaut, faisant ainsi passer le comté de la maison de Bavière à celle des ducs de Bourgogne[30]. Par suite du mariage de Marie de Bourgogne avec Maximilien d’Autriche, la ville passe sous tutelle de la maison des Habsbourg en 1477[31].
En 1497, la tour de l'horloge est érigée sur le site de l'actuel beffroi : celui-ci la remplacera après son incendie et l'écroulement d'une tour de remplacement, survenu en 1661.
Époque moderne
Carte[32] représentant le siège de Mons de 1691.
En 1515, Charles Quint est sacré comte de Hainaut. À cette époque, Mons compte environ 9 500 habitants et elle attire un grand nombre d'artisans (tanneurs, cordonniers, tisserands). Ainsi, des tanneries s'installent le long de la Trouille qui à cette époque passe encore dans la ville[33].
Période espagnole (1555-1713)
Peu avant son abdication en 1556, Charles Quint transmet à son fils, Philippe II d'Espagne, ses possessions non autrichiennes, notamment les Pays-Bas dont Mons fait partie.
La Guerre de Quatre-Vingts Ans porte un coup au commerce et à l'industrie de la ville au cours du XVIe siècle. La ville tombe aux mains des Gueux : Louis de Nassau prend la ville par surprise le 24 mai 1572. Le but est de donner Mons au roi de France. Ferdinand Alvare de Tolède, le duc d'Albe, n'acceptant pas cette situation, reprend la ville le 21 septembre de la même année[34].
Entre 1580 et 1584, Alexandre Farnèse installe à Mons le siège du gouvernement des Pays-Bas espagnols.
En 1615, la ville est à nouveau touchée par une épidémie de peste[35]. La ville est alors mise en quarantaine et des soldats interdisent le passage des remparts. Néanmoins, les échevins montois s'adressent au chapitre de Gand pour obtenir les reliques de saint Macaire en espérant ainsi faire disparaître l'épidémie. Les Gantois acceptent et les reliques sont placées dans la collégiale Sainte-Waudru. En 1616, l’épidémie décroît avant de cesser totalement. En remerciement, la ville fait réaliser par un orfèvre montois une châsse en argent pour y transférer les reliques : elle fait toujours partie des trésors de la cathédrale Saint-Bavon de Gand.
En 1678, au cours de la Guerre de Hollande, le maréchal de Luxembourg assiège Mons. Suite à la bataille de Saint-Denis, le siège finit par être levé.
Du 15 mars au 10 avril 1691, lors de la Guerre de la ligue d'Augsbourg, la ville est à nouveau assiégée par les troupes du maréchal de Luxembourg, en présence de Louis XIV, Vauban dirigeant les travaux de siège[36]. La ville tombe et reste aux mains des Français jusqu'en 1697. Vauban est chargé d'améliorer le système défensif de la ville. En 1697, suite au traité de Ryswick, Mons est restituée à la couronne d'Espagne.
Période autrichienne (1713-1795)
De 1701 à 1713, la France occupe à nouveau la ville (Guerre de succession d'Espagne). Les Traités d'Utrecht et de Rastatt font entrer la ville dans le giron des Habsbourg d'Autriche. La place forte est toutefois contrôlée par des troupes des Provinces-Unies.
En 1718, le pouvoir, représenté par la cour souveraine du Hainaut, quitte le château qui, par faute d'entretien, se dégrade. Le site est rasé au XIXe siècle, seuls la chapelle Saint-Calixte (XIIIe siècle), la conciergerie et le beffroi étant préservé : un parc public y est inauguré le 10 juin 1873.
En 1747, Louis XV conquiert la ville et la garde jusqu'en 1748 où elle est restituée à l'impératrice Marie-Thérèse par le Traité d'Aix-la-Chapelle (1748) qui met fin à la Guerre de Succession d'Autriche[37] .
Époque contemporaine
Période française (1795-1815)
Après la bataille de Jemappes le 6 novembre 1792[38], Mons devient « ville libre ». La Convention veut réunir les Pays-Bas autrichiens et la Principauté de Liège (alors État distinct) à la France, mais elle est combattue. Le vainqueur de Jemappes, Dumouriez, est sensible au désir d'autonomie des populations, mais son vœu de voir procéder à des élections se heurte aux vieilles structures, sauf à Mons, Liège et Charleroi[39] et aux dirigeants français avides des richesses belges[40]..
Bien que des pillages et exactions soient signalés dès cette première conquête française, les choses s'aggravent avec la seconde (les Autrichiens ont reconquis brièvement leurs Pays-Bas en 1793), consécutive à la victoire de Fleurus, le 26 juin 1794. Des massacres ont lieu à Mons, Nalinnes et Tiercelet faisant 200 victimes, les religieux étant les premiers visés[41]. Par ordre officiel de la Convention nationale, le pays est soumis à une exploitation forcenée des armées françaises qui doivent « évacuer en France toutes les richesses des pays conquis »[42][43]. Les occupants imposent alors par des arrêts des contributions toujours plus grandes sous peine d'exécution capitale et avec prises d'otage jusqu'au versement[44]. Ce régime s'adoucit relativement rapidement en raison des protestations parvenues au Comité de salut public[45] et parce que la Belgique était exsangue[46]. Mais les représentants en mission ont quand même frappé Mons[47].
En 1794 comme en 1792, les révolutionnaires français peuvent compter sur de nombreux sympathisants à Mons comme à Liège. La ville devient la préfecture du département de Jemappes (alors orthographié Jemmapes) en 1794. En 1800 débutent les travaux du Canal Mons-Condé : il permet d'acheminer le charbon des mines du Borinage vers le reste de la France (les mines boraines produisent plus de charbon que la France entière)[48].
Période néerlandaise (1815-1830)
En 1815, suite à la défaite de Waterloo, la ville passe sous l'autorité néerlandaise conformément aux décisions du Congrès de Vienne[49]. Cette période voit la construction du canal Pommerœul-Antoing permettant de rejoindre l'Escaut sans passer par la France.
La Révolution belge, en préparation à Bruxelles dès la fin août 1830, ne laisse pas la population locale indifférente. Dès le 3 septembre, la nervosité est sensible dans les classes populaires, d'autant plus furieuses qu'elles sont en situation difficile du fait de la cessation des activités des charbonnages. Il y a des heurts avec la garde urbaine le 17 septembre. Le 19 septembre, avec l'arrivée du général Howen, la tension grandit encore : les mineurs marchent vers la porte de Nimy, mais deux compagnies les prennent à revers : on relève 11 morts. Le 29, à la nouvelle de la défaite néerlandaise à Bruxelles, les troupes belges des garnisons néerlandaises se mutinent et le général de Howen, son état-major ainsi que les soldats néerlandais sont arrêtés[50].
Belgique indépendante
La ville perd sa fonction de ville forte dès l'indépendance de la Belgique en 1830. Dès 1841, une liaison de chemin de fer est réalisée entre Mons et Bruxelles. Le démantèlement des fortifications a lieu entre 1861 et 1864, sous le maïorat de Désiré Dethuin, tandis que son successeur, François Dolez, donne à Mons son aspect actuel en faisant construire deux ceintures : le boulevard intérieur sur le site de la fortification dite « urbaine » et le grand boulevard sur les fondations du mur néerlandais. Même sans ces protections devenues inutiles face aux canons, Mons reste une ville de garnison jusqu'en 1914.
Transféré depuis la prison des Petis-Carmes de Bruxelles, Paul Verlaine est incarcéré à la prison de Mons d'octobre 1873 à janvier 1875 suite à sa condamnation pour coups et blessures contre Rimbaud[51] : il y écrit des poèmes insérés ensuite dans Romances sans paroles et Sagesse.
À la fin du XIXe siècle, Mons est le théâtre de revendications sociales et politiques. Ainsi, le 10 juin 1890, des groupes d'ouvriers borains parcourent la ville en chantant La Marseillaise, criant « Vive la République ! » et acclamant le député socialiste Léon Defuisseaux. Le 17 avril 1893, 3 000 mineurs en grève marchent sur la ville : la colonne de grévistes se heurte à trois compagnies de gardes civiques qui, suite à une charge des ouvriers qui ont arraché les baïonnettes à certains gardes, font feu. Il y a sept morts et de nombreux blessés[52]. En avril, le Parlement épouvanté, notamment par cet incident très grave[53], vote le suffrage universel tempéré par le vote plural. Le congrès du Parti ouvrier belge (POB), qui aurait dû se tenir à Mons, se réunit en 1894 dans la commune boraine de Quaregnon où il adopte la Charte de Quaregnon.
Le 4th Battalion des Royal Fusiliers sur la grand-place, le 22 août 1914.
Les 23 et 24 août 1914, Mons est le siège d'une bataille féroce (5 000 hommes perdus côté allemand et 1 500, dont 763 tués, côté britannique) entre les armées allemandes et Alliées[54]. Bien que les forces allemandes soient supérieures en nombre, les troupes britanniques retardent pourtant leur percée, permettant ainsi à l'armée belge de se réorganiser au-delà de l'Yser et à l'armée française de se ressaisir pour préparer la victoire de la Marne. La bataille de Mons donne naissance à la légende des anges de Mons.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, l'armée allemande fait son entrée dans la ville le 19 mai 1940 et ce n'est que le 2 septembre 1944 que la IIIe divison blindée américaine libère la ville sans résistance[55] : Mons est l'une des premières villes de Belgique à être libérée.
Lors du dénouement de la Question royale en 1950, Léo Collard, député et échevin de Mons, déclare le 18 juillet que la Wallonie est menacée « d'un mouvement incontrôlable et irrationnel de nature morale et psychologique »[56]. C'est à Mons qu'ont lieu les premiers attentats à l'explosif : le 21 à hauteur du Waux-Hall ainsi que sur la ligne vicinale Mons-Charleroi[57]. Le 29, 10 000 manifestants défilent[58].
En 1967, le SHAPE (Quartier général de l’OTAN), quittant Rocquencourt (France), s'installe à Casteau[59].
À partir des années 1970, Mons est en mutation. Il y a tout d'abord l'étape importante des fusions de communes de 1972[60] (fusion avec Cuesmes, Ghlin, Hyon, Nimy, Obourg avec des parties de Baudour et de Jemappes) et de 1977 (fusion avec Ciply, Harmignies, Harveng, Havré, Jemappes, Maisières, Mesvin, Nouvelles, Saint-Symphorien, Spiennes, Villers-Saint-Ghislain ainsi que des parties de Ville-sur-Haine, de Masnuy-Saint-Jean et de Casteau à l'emplacement du SHAPE). Les fusions permettent à la ville d'atteindre une taille critique en multipliant par trois sa population.
Aux élections communales de 1970, René Noël, ex-bourgmestre de Cuesmes et sénateur communiste, mène une liste UDP (Union démocrate et progressiste) qui remporte 21,5% des voix et même, en novembre 1971[61], près de 28% des voix : il s'agit d'un Rassemblement des progressistes, réunissant pour la première fois des chrétiens de gauche, des communistes et des socialistes.
Un mouvement de rénovation urbaine se met en place dans les années 1980 : le but est de mettre en avant les richesses culturelles et patrimoniales de la ville. Conçue à l'origine comme une place forte et donc fermée, la ville est maintenant ouverte au tourisme et au commerce.
source : Wikipedia

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