Villetaneuse, 93430
Bienvenue à Villetaneuse, commune française de 11177 habitants située dans le département Seine-Saint-Denis et la région Ile-de-France.Vous trouverez ici quelques infos sur la commune et notre sélection de sites sur Villetaneuse.
     
 
 

Villetaneuse en bref

Département : Seine-Saint-Denis
Code postal : 93430
Population : 11177 habitants
Région : Ile-de-France
Arrondissement : Saint-Denis
Canton : Pierrefitte-sur-Seine

Histoire de Villetaneuse

Extrait de la Carte de Cassini
Villetaneuse est au Nord-ouest de Saint-Denis
Origine du nom
Villetaneuse est mentionné sous les formes suivantes : Villa Tineosa vers 1120 ; Villa Teignosa en 1209 ; Villa Teigneuse en 1313 ; Villa Scabiosa XVe siècle ; Ville Tigneuse 1470 ; Ville-taneuse 1517.
Le nom de la commune semble dérivé de Villa Tine Osa, lieu où l'on traite le tan (écorce de chène ou d'aulne moulue) afin de pouvoir tanner les peaux, ou de Villa stagnosa (domaine des étangs).
Les origines
La première mention de Villetaneuse est attestée vers 1120, de Ricardus de Villatenosa. Le fief de Villetaneuse relève alors à la fois du seigneur de Montmorency et de l'Abbé de Saint-Denis
Carte des Chasses du Roi(1764-1773)
Au début du XVe siècle, la collégiale Saint-Martin de Montmorency possède des vignes à Villetaneuse, ainsi que des droits de cens.
Aux XVIe et XVIIe siècle, les seigneurs de Villetaneuse sont des officiers royaux, comme Jean du Vivier, avocat au parlement en 1650, Julien Chauveau, procureur au Parlement en 1588...
Un acte de 1613 indique que Anne Robert, avocat au Parlement, seigneur de Villetaneuse, demeurant à Paris, et Jacques Doublet, religieux à Saint Denis, échangent leurs droits seigneuriaux réciproques qu'ils possèdents à Pierrefitte et à Villetaneuse.
En 1658, Villetaneuse est érigé en comté, regroupant également La Briche et Épinay.
La paroisse Saint-Liphard est créé au XIIIe siècle.
Dès 1463, il est fait mention des carrières de pierre à plâtre de Villetaneuse, qui constituent, avec l'agriculture, la principale richesse de Villetaneuse. En 1783, le lieutenant général de police sanctionne des carriers qui explotent la pierre à plâtre sans autorisation.
Un château figure sur les cartes d'Ancien régime, telle que la Carte des Chasses reproduite sur le côté, château que l'Abbé Lebeuf décrit ainsi[1] : « Le château, accompagné de deux pavillons, était environné de fossés à fonds de cuve, revêtus de pierre, et pleins d'eau ; le parc clos de murs dans lesquels il y a un taillis et de la haute futaye, laquelle a été coupée depuis, plus 277 arpens de terre, prés et vignes, tant sur le territoire de Villetaneuse que sur celui de Pierrefitte. Il paraît que la source qui remplit les fossés de ce château est dans les fossés mêmes. Cette source s'écoule ensuite dans la rivière de Crould (sic), un peu avant que celle-ci se jette dans la Seine Â», mais, en 1825, la carte de Maire indique qu'il ne reste plus du château que le Parc[2].
En 1883, l'ancien enclos du château, qui est resté entouré des fossés qu'avait décrits Lebeuf, devint le siège d'une blanchisserie, dite Blanchisserie du Château de Villetaneuse. Le Conseil municipal protesta, en novembre 1885, contre les inconvénients qui pouvaient résulter, au point de vue de la salubrité, des eaux de lessive, chargées d'ingrédients divers, déversées dans le rû du Rouillon par cette « buanderie Â» et réclama l'assainissement du rû, depuis ce point jusqu'à la limite du territoire communal.
C'est l'origine de l'actuelle zone d'activité de Villetaneuse.
Circonscriptions d'ancien régime[3]
Circonscriptions religieuses sous l'Ancien Régime : Paroisse : Villetaneuse, Doyenné : Montmorency, Archidiaconné : Paris, Diocèse : Paris.
Circonscriptions administratives sous l'Ancien Régime : Intendance : Paris, Elections : Paris, Subdélégation : Saint-Denis, Grenier à sel : Paris, Coutume : Paris, Parlement : Paris, Baillage : Prévôté de Paris, Gouvernement : Ile-de-France.
De 1850 à 1960
Cliquez sur une vignette pour l'agrandir.
Aux XIXe et au début du XXe siècle, l'activité maraîchère prédomine, mais les carrières de pierres à plâtre sont très présentes dans les contreforts de la Butte-Pinson.
L'ancienne église
l'ancienne église au fond de la rue R. Salengro, avant 1908
L'ancienne église, dans l'Entre-deux-Gerres. Son clocher avait été abattu en 1908
La cloche de l'église provient de l'église de 1857, où elle aurait été dédiée en 1871, durant la Commune de Paris. Nettoyée, elle a été réimplantée dans le nouveau clocher.
Si l'on sait qu'une paroisse dédiée à Saint-Liohard existe depuis le XIIIe siècle à Villetaneuse, la première église connue nous l'est par la description de l'Abbé Lebeuf et semble dater de la première moitié du XVIIIe siècle. C'était une simple chapelle, couverte d'un lambris peint disposé en forme de voûte, et dotée d'une petite tour. Son patron, saint Liphard y était représenté en abbé, vêtu de blanc, avec un dragon ou un serpent à ses pieds. L'édifice s'élevait en face du château, à côté du cimetière, et par conséquent, assez loin du centre de bourg rural : c'était plus la chapelle du château de l'église de la paroisse.
Selon les registres du Conseil municipal, le maire exposa au Conseil le 20 mai 1850 que « l'église est insuffisante, insalubre et en très mauvais état, située dans un endroit isolé et marécageux, presqu'à un kilomètre de la commune Â», et qu'il était indispensable de la reconstruire. Le Conseil se rangea à cet avis et manifesta ses préférences au point de vue de l'emplacement, pour la propriété du sieur Perrin (Alexandre) à l'angle formé par la rue du 19 mars 1962 et la rue Roger Salengro, emplacement qui constituait alors l'entrée sud du bourg.
Cet emplacement fut, en effet, adopté, mais plusieurs années seulement après, et à la suite de beaucoup de tâtonnements pour l'adoption d'un devis qui paraissait toujours trop élevé. Un décret du 27 juin 1855 autorisa enfin la commune : 1° à acquérir de la dame veuve Perrin, née Fauveau, et du sieur Miller (François), moyennant 8.400 francs, le terrain et les bâtiments où seraient élevés la nouvelle église, et ultérieurement un presbytère; 2° à aliéner aux enchères publiques, sur la mise à prix de 11.200 francs, le presbytère et les matériaux de l'ancienne église.
Les travaux de construction durèrent trois ans; finalement, le compte total de la dépense, montant à 54.170,46 F., fut approuvé le 17 octobre 1858[4]. L'église a été représentée à plusieurs reprises par Maurice Utrillo, .
Malheureusement, cette seconde église, construite en pierre à plâtre locale, matériaux médiocre et peu pérenne, présentait de nombreux désordres, et un arrêté municipal du 29 février 1908 ordonna la démolition du clocher en raison de son « Ã©tat de complet délabrement Â».
Après l'effondrement de l'un des plafonds du transept, intervenu la nuit du 24 au 25 décembre 1987, après la messe de Noël, la municipalité dut faire abattre ce bâtiment, devenu dangereux et irréparable.
La nouvelle église, confiée à Raymond Ferlay, fut inaugurée le 18 décembre 1991. Elle a conservé de l'église précédente sa cloche, et, d'une ancienne chapelle de la Route de Saint-Leu, une statue antique de la Vierge Marie.
L'ancienne mairie
L'ancienne Mairie de Villetaneuse, vers 1900
Le Conseil municipal décida d'acheter en 1835 un terrain situé au centre du bourg, à l'angle de la rue Salengro et de l'avenue Jean Jaurès (là ou se trouve aujourd'hui un espaces vert) « pour y édifier une école primaire, une mairie et un corps de garde Â», qui fut conçu par l'achitecte Lequeux en 1838.
Le rez de chaussée de cette Mairie école servait de salle de classe des garçons et de salle de garde, l'étage servant à la Mairie.
Vers 1895, ce bâtiment fut complété d'un second à l'est, servant d'école des Filles et de logement des instituteurs à l'étage. Au sud, un "préau" compléta l'ensemble jusqu'aux années trente, où le préau fut transformé en salle des fêtes et les écoles transférées dans le nouveau groupe scolaire de la commune, l'École Jean-Baptiste Clément. En 1939, le bureau de poste, tout justé créé à Villetaneuse, s'installa dans les anciens locaux de l'école des filles.
Les bureaux de la mairie utilisèrent rapidement les locaux de l'école des garçons, puis, après la construction du bureau de poste de la rue du 19 mars 1962, la totalité des bâtiments, qui restaient toujours trop exigus pour satisfaire aux besoins des Villetaneusiens, et on parlait d'un nouvel Hôtel de ville depuis les années soixante. Celui-ci a été construit dans le nouveau centre-ville par l'architecte Nina Schuch et a été inauguré en septembre 1992.
Démographie en 1896
Villetaneuse en 1896
En 1896, la commune compte 708 habitants, dont 240 inactifs (enfants, femmes au foyer, vieillards). Les actifs se répartissent comme suit :
La commune compte alors trois carrières de pierre à plâtre, employant au total 150 ouvriers, une fabrique de "fibre chamois" (50 ouvriers) et une fabrique d'engrais (10 ouvriers) [4].
L'entre-deux-guerres
Entre les deux guerres, des petites zones pavillonnaires se créent, à l'écart de l'ancien bourg. Elles sont habités par des ouvriers de Saint-Denis, un nombre important de gaziers de l'usine de Gennevilliers ou les cheminots du dépôt des Joncherolles, créé en 1932 par la Compagnie des chemins de fer du Nord pour accueillir ses locomotives à vapeur de banlieue.
Au début des années trente, si l'agriculture reste importante, l'activité économique de la commune est principalement assurée par les entreprises suivantes :
Atelier de la Nobel Française, nouvelle dénomination de la Société Industrielle du Celluloïd, qui exploitait son entreprise de produits en celluloïd à l'emplacement de l'actuel centre commercial BienVenu et employait 300 personnes
le Linge Azur, autre entreprise de celluloïd proche celle de la Nobel sur l'avenue de la Division Leclerc, employant 20 salariés
Les carrières Cruvellier (20 carriers) et Vieujot (20 salariés)
A l'emplacement de l'ancien château, les tanneries de Villetaneuse (20 salariés) et un dépôt de matériel et d'outillage, la Scémia ou Sémia (20 salariés) et la compagnie française de transformation métallurgiques (20 salariés).
Au total, ce sont 400 emplois qui existent au début des années trente à Villetaneuse, occupés pour la plupart par des personnes n'habitant pas la commune[6]
La création de l'Université Paris Nord
« En 1966, le ministère de l'Education Nationale et la Délégation Générale du District de la région parisienne lançaient un concours d'idées à deux degrés pour « un aménagement de la plaine de Villetaneuse-Deuil-Montmagny comportant un ensemble universitaire)}. Le programme du concours insistait particulièreement - on cherchait sans doute déjà à éviter les erreurs de Nanterre - sur la nécessité de trouver une composition favorisant une utiliisation commune des équipements publics et universitaires de toute nature. A l'issue du jugement du deuxième degré, l'équipe Adrien Fainsilber-Hogna Sigurdardottir obtint le premier prix en s'étant fixé pour objectif de faire de l'université un élément fondamental et dynamique de la structure urbaine et non une forteresse refermée sur elle-même et isolée du reste de la ville Â» (Gérard Négréanu[7]).
Ce projet, mis en parenthèses pendant plusieurs années, fut repris en janvier 1970, sans doute comme une conséquence des évènements de Mai 1968, avec l'objectif absolu d'ouvrir une première tranche du campus dès novembre 1970 et le surplus du centre d'études litéraires et juridiques (CELJ) à la rentrée 1971, moyennant une réduction drastique du programme et de la taille du campus, désormais réduit à une vingtaine d'hectares situés au centre la commune de Villetaneuse, alors que le projet mis au concours devait s'étendre sur plus de 300 hectares répartis sur les communes de Deuil-la-Barre, Montmagny et Villetaneuse.
Les éléments d'accompagnement du projet furent également réduits, puisque le RER prévu par le SDRIF de 1965, puis le prolongement de la ligne 13 du métro de Paris (par le SDRIF de 1975) n'ont jamais été réalisés, non plus d'ailleurs que les multiples projets autoroutiers qui devaient desservir le nord-ouest de la Seine-Saint-Denis.
Du projet de ville universitaire, sans doute comparable dans son esprit à ce qui fut réalisé à Orsay, Bures-sur-Yvette ... pour l'Université Paris XI, ne fut réalisé à Villetaneuse que l'université, sans ses cités universitaires, et avec uniquement un restaurant universitaire, la Bibliothèque universitaire, un gymnase couvert (le COSEC[8]), ainsi qu'une cité HLM, la cité Allende, initialement destinée à accueillir notamment les personnels de l'éducation nationale et d'autres agents publics.
Les architectes n'eurent donc que deux mois pour dessiner les premiers bâtiments, réalisés en préfabrication lourde de béton, mais la première rentrée du campus eut bien lieu à la rentrée 1970...
La faculté des sciences, initialement dénommé Centre scientifique et politechnique (CSP) a été construite en 1974. Aujourd'hui dénommé Institut Gallilée, il a bénéficié d'une extension conçue par Jean Tribel. Dans le cadre d'un plan d'urgence ont été construits vers 1990 de nouveaux amphis pour le CELJ, afin d'accompagner la croissance du nombre d'étudiants. Le grand auvent a été transformé en forum, qui constitue désormais le vrai cœur du campus.
Le campus, conçu de manière cohérente pour s'étendre au-dela du territoire communal et renouveller l'urbanisation, à la mode des villes nouvelles que l'ont construisait alors, n'a ainsi constitué qu'une enclave placée au centre de la ville, isolant ses quartiers Nord et Sud.
Jusqu'à la mise en service du Tram'y (escomptée fin 2011), l'Université et la ville ne sont desservie que par la gare d'Épinay-Villetaneuse, qui malgré son nom, se trouve à près d'un kilomètre de la ville.
Les années 1980 - 2005
Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !
Depuis 1975, Jean Renaudie étudiait la rénovation de Villetaneuse, afin de permettre d'une part de supprimer les anciens habitats insalubres en pierre à plâtre du vieux bourg et de lier la Ville à l'Université.
Cela se fit en deux temps :
en 1982 et 1986 ont été construits les immeubles dits "soleil" ou "RHI", sur l'emplacement de l'ancien centre du bourg. Ces 262 logements HLM comprenaient une résidence pour personnes âgées ainsi que des commerces, qui n'ont jamais été dynamiques.
en 1992 commença la réalisation de la ZAC du Centre Ville, qui s'achève en 2007. Ont ainsi été construits le nouvel Hôtel de Ville, de nombreux services publics sociaux, 48 pavillons locatifs sociaux, 36 maisons individuelles groupées en accession, deux cités universitaires et environ 400 logements locatifs sociaux.
La démolition de l'ancienne mairie marqua le début du déclin du quartier qui l'intourait, dont la plus grande part avait été conçue par Jean renaudie et son école, nécessitant l'élaboration d'un projet de renopuvellement urbain conventionné avec l'ANRU en 2007.
Parallèlement à ces opérations de logements, la Commune, puis, plus tard, Plaine Commune développé la zone d'activité de Villetaneuse autour de son noyau, la zone du Château. La SNCF profita de ses emprises inutilisées du dépôt des Joncherolles (vacant depuis la fin de la traction vapeur) pour créer un atelier de grande dimension permettant l'entretien des rames de banlieue, et la Municipalité parvint à obtenir la création du centre commercial BienVenu (autour de l'enseigne Continent, puis Auchan) à l'extrême sud de la Ville, sur des emprises qu'avait exproprié l'État vers 1966 et qui étaient restées peu employées, si ce n'est par des activités nuisantes.
À partir de 2004 débuta enfin la restructuration de la Cité Allende, étudiée dès 1990, et qui permis la réhabilitation lourde de 283 logements, la démolition de 5 des 14 bâtiments afin de dédensifier et d'ouvrir la cité sur son quartier tout en organisant ses relations avec l'université qui la jouxte et en préparant l'arrivée du tramway Tram'y. Deux rues ont été ouvertes à cette occasion.
2006-2015 : Le projet Universitaire et Urbain, l'ANRU et les transports
Inauguration de la première opération ANRU : la restructuration de la Cité Allende et la création de nouveaux espaces publics du Projet Universitaire et Urbain
10 mars 2007
Les prochaines années seront consacrées à la mise en Å“uvre du projet de renouvellement urbain conventionné avec l'ANRU relatif au quartier nord de Villetaneuse, et qui porte principalement sur les bâtiments conçus par Jean Renaudie : ils seront tous réhabilités, mais la commune va utiliser l'ensemble des espaces en rez-de-chaussée pour y implanter des services à dominante sociale, et l'un des îlots sera transformé en immeuble en copropriété. Une opération de redynamisation des commerces de proximité sera engagée. Cette opération serat réalisée par un ensemble de partenaires et d'opérateurs comme la SA HLM La Sablière, l'OPAC Plaine Commune Habitat, l'EPA Plaine de France, le promoteur DCF, etc.
La mise en Å“uvre du projet universitaire et urbain se poursuivra, avec notamment la construction, sans doute pour la rentrée 2009, de deux équipements de l'Université financés dans le cadre du Contrat de plan État-région 2000-2006 : l'extension de la Bibliothèque universitaire et celle de son gymnase. A la même époque devrait être réalisé la première tranche du Centre scientifique et technologique de l'IUFM de l'Académie de Créteil, acuellement hébergé au Lycée de l'ENNA à Saint-Denis. Une soixantaine de logements locatifs seront construits entre la Cité Allende et la Piscine pour achever ce quartier d'habitat.
Par ailleurs, le chantier de construction du Tram'y devrait commencer en 2008, puis celui du franchissement des voies de la Grande-Ceinture dans le cadre de la création de la Tangentielle Nord et de celle de la gare de Villetaneuse-Université
source : Wikipedia

Carte de Villetaneuse

 
 
 
 
 
 
  Communes françaises
 
 
  Autres communes du canton
 
 
  Communes proches
 
 
  Départements français
01.Ain.  02.Aisne.  03.Allier.  04.Alpes-de-Haute-Provence.  05.Hautes-Alpes.  06.Alpes-Maritimes.  07.Ardèche.  08.Ardennes.  09.Ariège.  10.Aube.  11.Aude.  12.Aveyron.  13.Bouches-du-Rhône.  14.Calvados.  15.Cantal.  16.Charente.  17.Charente-Maritime.  18.Cher.  19.Corrèze.  21.Côte-d'Or.  22.Côtes-d'Armor.  23.Creuse.  24.Dordogne.  25.Doubs.  26.Drôme.  27.Eure.  28.Eure-et-Loir.  29.Finistère.  2a.Corse du Sud.  2b.Haute-Corse.  30.Gard.  31.Haute-Garonne.  32.Gers.  33.Gironde.  34.Hérault.  35.Ille-et-Vilaine.  36.Indre.  37.Indre-et-Loire.  38.Isère.  39.Jura.  40.Landes.  41.Loir-et-Cher.  42.Loire.  43.Haute-Loire.  44.Loire-Atlantique.  45.Loiret.  46.Lot.  47.Lot-et-Garonne.  48.Lozère.  49.Maine-et-Loire.  50.Manche.  51.Marne.  52.Haute-Marne.  53.Mayenne.  54.Meurthe-et-Moselle.  55.Meuse.  56.Morbihan.  57.Moselle.  58.Nièvre.  59.Nord.  60.Oise.  61.Orne.  62.Pas-de-Calais.  63.Puy-de-Dôme.  64.Pyrénées-Atlantiques.  65.Hautes-Pyrénées.  66.Pyrénées-Orientales.  67.Bas-Rhin.  68.Haut-Rhin.  69.Rhône.  70.Haute-Saône.  71.Saône-et-Loire.  72.Sarthe.  73.Savoie.  74.Haute-Savoie.  75.Seine.  76.Seine-Maritime.  77.Seine-et-Marne.  78.Yvelines.  79.Deux-Sèvres.  80.Somme.  81.Tarn.  82.Tarn-et-Garonne.  83.Var.  84.Vaucluse.  85.Vendée.  86.Vienne.  87.Haute-Vienne.  88.Vosges.  89.Yonne.  90.Territoire de Belfort.  91.Essone.  92.Hauts-de-Seine.  93.Seine-Saint-Denis.  94.Val-de-Marne.  95.Val-d'Oise.